Hier héros, poète aujourd’hui, le Perceval d’Emmanuel Merle par Hélène BASSO aux Editions LA CRYPTE.
Quatrième de couverture:
« Le goût du fer a emporté mes lèvres:
je ne saurai jamais ce que j’aurais pu sauver. »
Hélène Basso, dans une lecture passionnée et pénétrante des Dernières paroles de Perceval d’Emmanuel Merle, montre l’impossibilité d’exprimer le monde autrement qu' »avec des mots qui furent témoins et peut-être complices de l’horreur » autant que celle de se taire et suggère que « la parole n’a peut-être pas pour horizon la capture du sens mais la célébration de l’être ».